klaus schulze goes goth
le ventilateur des enceintes afin qu'elles aient mangé le pied saumâtre et gras du carrelage finalement glissant voire chaud cochon ailé à pourvoir bientôt dès septembre double-vitré sur la terrasse à l'ombre tout l'été des petits vieux tressautant dans les égoûts vers la perspective Nevsky je suis une mass murd-heureuse
20.7.04
14.7.04
Peut-être que tout risque de se terminer comme ça. Je ne suis plus rien, je suis reclus quelque part où vous ne pouvez me voir. Si je n'ai jamais rien proféré de compréhensible, alors cet enfouissement est plus abscons que tout. L'autre est toujours là, cancérigène. Parfois, lorsque ses yeux regardent la vitre et les arbres qui glissent, je m'extirpe un peu et nous rêvons des Eveldis. Aujourd'hui, je me dis pourtant que je pourrais reprendre le contrôle, car si j'attends encore, nos rêves siamois se déchireront en oublis respectifs, ardeur mortelle des nuits internes et contemplation analgésique de l'extérieur.