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truie
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Last lights, last words.

21.6.06

Terminal Malfunction


Il y a parfois des soirs où un virage s'approche
Où on se demande de la frustration, du manque,
De la douleur ou de la panique, ce qui est le plus éreintant
Une trigonométrie diabolique et un dédale d'impasses
- fronçage de sourcils - on se gratte le crâne
Au milieu du myriagone, on cherche une issue
Dissimulée dans l'un des pans de murs, un hectolitre de
kerozen, et de quoi provoquer une combustion
- quitter l'interzone et réduire l'équation.



Terminal Malfunction


"I stand in front of you,
I'll take the force of the blow
Protection...

You're a girl and i'm a boy
You're a girl and i'm a boy
You're a girl and i'm a boy
You're a girl and i'm a boy"
17.6.06
but at least spare some machines



(more)
à la fin il restera quelques guitares
autour d'un feu joueront
une petite apocalypse
dark folk
la matière javelisée par les yeux myélites
sludge en sillage du solennel entrevu

l'Insekte

ce soir
l'huile frit en scories électrifiées
à cent mille points d'ébullition à la seconde
tous ces éphèmères au plafond
je crois que je vais rendre le réverbère

ceci n'est plus un blog, merci.
16.6.06
Un matin, oui. Ce que nous croyions être un matin.
j'en suis toujours pas revenu ('fin, personnellement).
15.6.06
et il y aura un matin où nous ne reviendrons plus au monde.
11.6.06
Un pas après l'autre
nous trépasserons les vieilles serrures
nous les effacerons
facile comme craie à la mer
nos cils en floraison

les mains en torsions impossibles
le grand finale ne sera plus
qu'un grand chaos
de larmes
de chair et d'os
autour d'un petit feu éteint

le reste appartiendra à l'Histoire.
2.6.06
31.5.06
« et puis les fées se sont enchaînées disparaissant presque aussitôt sauf une
ou deux

où l’horizon

inonde


oui équivocatoire Noz noise
green
                    en
                                        core »

François Richard, Sseferia



où ta corolle
l'écorchure du marc
à l'abandon placide
laissé depuis
l'effleurée déflagration
du gouffre
l'en-dérobe
dedans
comme un chien
fusil fantôme
épandu sur l'é-brèche
lisière de l'intelligible
dehors

vers Falguière toujours la conjonction grise des cornées

ta voix nuage bleu des filaments stratosphères
suspendue au prélude mauve
en travers l'avenue
au jour près ne sais
ta voix réverbérée dans mes moindres membranes

il pleut Bethany Curve
sur les champs verticaux urbanites
par éparses et embrasements
dans l'évasement leur érosion pernicieuse de perspectives
aux carrefours peut-être
il ne reste qu'à cueillir les convulsions
d'un désert

gray after all
les mains dans la viande froide
j'exégèse ta cendre absence
mégogenèse sur tes lèvres vers ces constellations chinées poussière
puis vite
writchor
au lieu des réveils chaque petite vie
au-delà des sables horaires
writchor poison
dont les veines dessinent des ergs
des estuaires coagulés
ces sécheresses autorisées à la bordure des fluences post-industrielles

il pleut Bethany Curve
mais déjà tu m'assèches les os
que reste la ténue nucléaire
la mathématique dissolue des sons
qui n'invective que calcification inutile des affects
sinon la rémanence aux papilles de ta vulve liquoreuse

frisson ne reste plus que
writchor l'encens désincarné des syntagmes
c'est la pluie Bethany Curve qui lave nos chatoyances
aride nos
vers
derrière ses pénitences translucides
la démarcation à distance immuable
où ne brume Bethany Curve plus que la spirale introfolie
les bras tendus comme au sortir sépulcral
avec la compulsion d'un dur lacis violet au méat déjà gorgé
de l'absolution intromissive en pupilles muqueuses

piètre la tour Jonshism malgré la prophétie des convulsions
dévale
et je
déchire l'oléodiaphanité promessianique d'outre-trombes Bethany Curve
jaillis dans l'entre – où brigué
re-jadis : rien
hormis le delta de noir dendrité
les canaux incertains du
writchor dans l'entrelacs prélude
à la mer horizon-tale

au frêle liseré de la coupe pleine de l'encrechor
bascule de l'autre côté des erreurs ce ciel dé-nuées Bethany Curve
aplaties (avec)
les mêmes violences
descente
11.5.06
Les oiseaux ont incendié leur nid d'angoisse says:
un jour j'irai marcher sur l'ondée
Les oiseaux ont incendié leur nid d'angoisse says:
là où balancent tes sabots de sable
Les oiseaux ont incendié leur nid d'angoisse says:
au coeur d'une nef de terreur
Les oiseaux ont incendié leur nid d'angoisse says:
et on entendra le cri des bêtes décapitées
L'idiot piégé dans le marécage says:
haha tu es diabolique
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